Communiqué de presse No. 4

Cul sec ! La cinquième saison, revue littéraire romande, fête son premier anniversaire

Un an après sa campagne de financement participatif, la revue littéraire La cinquième saison a publié plus de cent auteurs d’ici et d’ailleurs. Aujourd’hui paraît son cinquième numéro.

Réunies sous la bannière « Cul sec », une trentaine de plumes témoignent de la vitalité des Lettres romandes, entre créations originales, critiques et analyses. Tandis que Daniel Abimi, Dunia Miralles, Antoine Jaquier ou Jean-Pierre Rochat boivent leur texte d’un trait, quatre articles malicieux évoquent l’ivresse dans la littérature, d’Homère à Houellebecq. La rubrique entretien est consacrée aux Editions d’autre part, et l’histoire littéraire célébrée en François Villon, Robert Louis Stevenson et Léon Bloy. Plus près de nous, Laurence Boissier, Max Lobe ou Rafik ben Salah nous ouvrent leurs coulisses sous l’intitulé « Quand j’écrivais ce livre ». Enfin, la revue faisant la part belle à la poésie, ce cinquième numéro s’enorgueillit d’un superbe inédit d’Alexandre Voisard qui joue avec les mots à l’encontre des vicissitudes du jour.

Comme de coutume, ce numéro donnera lieu à un vernissage, prévu pour le mois de novembre.

Paraissant quatre fois par an, La cinquième saison est disponible en librairie (fr. 15.-) et par abonnement (fr. 50.-/an).

Soucieuse de contribuer au foisonnement des lettres romandes et de découvrir de nouvelles plumes, La cinquième saison lancera prochainement son troisième appel à textes, sous le thème « Retour à la terre ». Les contributions seront attendues d’ici à la fin du mois de février.

Communiqué de presse No 3

COMMUNIQUE DE PRESSE

Parution et vernissage du deuxième numéro de La cinquième saison, revue littéraire romande

La cinquième saison, revue littéraire romande, sort son deuxième numéro, fort de 180 pages et d’une quarantaine d’auteurs, sous le thème À pierre fendre. Parmi les points forts figurent divers textes consacrés à Ramuz, tout juste tombé dans le domaine public, et aux livres que l’on n’a pas lus.

En introduction Bastien Fournier présente sa vision de la littérature romande – si elle existe. Une large place est faite à la poésie (Antonio Rodriguez, Stéphane Montavon, Stéphane Blok) et à la critique (Petite Brume de Jean-Pierre Rochat, Tétralogie Baur et Bindschädler de Gerhard Meier, Une toile large comme le monde d’Aude Seigne, etc.). Septante ans après la mort de Ramuz, quelques auteurs nous font partager leurs réserves (Pierre Yves Lador, Stéphane Bovon) ou leur enthousiasme (Christophe Gaillard) alors que d’autres nous font redécouvrir des textes méconnus (Marianne Dyens, Cédric Pignat).

Peut-on se refuser à Calvin, Musil, Proust ou Céline? Oui, et les auteurs Daniel de Roulet, Raphaël Aubert, Baptiste Naito, d’autres encore, nous expliquent pourquoi. A pierre fendre : tel est le thème exploré par une dizaine de plumes (Sacha Després, Céline Cerny, Anne Bottani, Michel Layaz, Pierre-André Milhit, Ivan Salamanca, etc.). Le numéro compte encore une tribune libre de Frédéric Wandelère sur le marché de la littérature et rend hommage à Philippe Rahmy et Jean Buhler.

Pour vernir ce deuxième numéro, nous invitons tous les amis du livre à la Librairie du Baobab de Martigny, le vendredi 2 mars à 18 heures.

Paraissant quatre fois par an, La cinquième saison est vendue en librairie (fr. 15.-), mais aussi par abonnement (fr. 50.-/an).

Pour son quatrième numéro prévu pour le mois de juin, soucieuse de mettre en lumière de nouvelles plumes, La cinquième saison lancera prochainement un appel à textes sur le thème Flop & fiasco.

Communiqué de presse No 2

COMMUNIQUE DE PRESSE

Vernissage du premier numéro de La Cinquième saison, revue littéraire romande

Forte du succès de sa campagne de financement participatif (près de 16’000 francs récoltés par rapport à l’objectif de 14’000), La cinquième saison, nouvelle revue littéraire romande, voit son premier numéro paraître dans les derniers jours d’octobre.

Au sommaire de ce premier numéro de 160 pages intitulé In utero, on trouve notamment :

  • Un inédit de Jacques Chessex consacré à l’humour de Charlie Chaplin
  • Un voyage à Karpathos, par Corinne Desarzens
  • Des poèmes croisés d’Alberto Nessi et Jérôme Meizoz
  • Un panorama de notre petit siècle littéraire, par Jean-Louis Kuffer
  • Une évocation de la Tunisie de l’après-Printemps arabe, par Rafik ben Salah
  • Un portrait de Corinne Desarzens, par Sonia Zoran
  • Divers textes inspirés par le thème In utero (Anne-Frédérique Rochat, Lolvé Tillmanns, Damien Murith, etc.)
  • Divers textes relatifs à la première phrase d’un texte cher (Odile Cornuz, Alain Bagnoud, Eric Bulliard, Alain Freudiger, etc.)
  • Un entretien avec Sabine Dormond, présidente de l’Association vaudoise des écrivains
  • Une série de chroniques de livres romands récents

Afin de fêter la parution de ce premier numéro, trois vernissages sont prévus. Nous invitons tous les amis du livre à nous rejoindre :

  • le jeudi 2 novembre au Vieux-Comté, à Bulle, de 17h30 à 19h30, en présence de Rafik ben Salah, Jean-Louis Kuffer, Eric Bulliard, Christophe Gaillard, Béatrice Monnard, etc.
  • le mercredi 8 novembre au Parnasse, à Genève, de 18h à 20h, en présence d’Alain Bagnoud, Françoise Gardiol, Bettina Stepczynski, Guillaume Favre, etc.
  • le samedi 25 novembre chez Payot Vevey, de 14h à 15h30, en présence notamment de Eric Bulliard, Lolvé Tillmanns, Béatrice Monnard, Anne-Frédérique Rochat, etc.

Animée par une poignée de passionnés, La cinquième saison célèbre le foisonnement de la littérature romande en lui offrant un nouvel espace de création, de critique et de débat.

Paraissant quatre fois par an, elle est vendue en librairie (fr. 15.-), mais aussi par abonnement (fr. 50.-/an).

Pour le deuxième numéro (janvier 2018), un appel un texte est lancé sur le thème A pierre fendre jusqu’au vendredi 10 novembre 2017 (tous genres, 5’000 à 15’000 signes).

Premier communiqué de presse

COMMUNIQUE DE PRESSE

La cinquième saison, nouvelle revue littéraire romande

Riche et foisonnante, la littérature romande peine à trouver l’attention et les relais qu’elle mérite. Née des inquiétudes et des enthousiasmes d’une poignée de passionnés, La cinquième saison entend combler cette lacune.

Chaque trimestre, notre revue invitera des auteurs de tous âges et de toutes sensibilités à composer un sommaire aussi alléchant qu’éclectique. Aboutissement d’un travail d’équipe entre un comité de rédaction et divers collaborateurs réguliers ou occasionnels, au nombre desquels figurent aussi bien des écrivains confirmés que des plumes prometteuses, elle ouvre ses colonnes à toute personne intéressée par la création littéraire en Suisse romande : écrivains, journalistes, traducteurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires et autres amateurs éclairés.

Loin des querelles de clocher, La cinquième saison se veut un journal de critique et de création, célébrant le débat et valorisant la diversité, ouvert sur l’ailleurs et l’autrefois, avec une ligne éditoriale résolument littéraire, à même de convaincre un lectorat exigeant aussi bien que de séduire le lecteur occasionnel.

Ouverte sur les arts, notre revue souhaite également accueillir, au fil des numéros, divers intervenants actifs dans les arts graphiques. Des collaborations avec des dessinateurs et des photographes sont en particulier envisagées, de même que des fac-similés. C’est ainsi que le premier numéro reproduira un tapuscrit corrigé de la main de Jacques Chessex.

La cinquième saison se présente sous la forme d’un volume de plus de 150 pages vendu en librairie (fr. 15.-), mais aussi par abonnement (fr. 50.-/an, soit quatre numéros). Fort d’inédits de Corinne Desarzens, Jacques Chessex, Alberto Nessi, Jérôme Meizoz, Jean-Louis Kuffer ou Rafik ben Salah, le premier numéro sortira au mois d’octobre. Le détail de son sommaire peut être consulté sur https://5eme-saison.ch

Afin d’assurer la parution des quatre premiers numéros, une campagne de financement participatif est lancée à l’adresse suivante : https://wemakeit.com/projects/revue-la-cinquieme-saison. Différentes formules d’abonnement sont proposées. Nous invitons toute personne soucieuse de défendre la cause littéraire à soutenir ce projet.